Le chorégraphe et cinéaste Alan Lake est en résidence de création pour son nouveau spectacle Gratter la pénombre à la Maison pour la danse. Avec ceux qu’il appelle ses complices – Arielle Warnke St-Pierre, Esther Rousseau-Morin, David Rancourt et Fabien Piché – le chorégraphe poursuit la création de son spectacle qui sera présenté dans le studio A en février prochain par La Rotonde.

La création en images 

En exclusivité, voici quelques images de la création avec l’interprète Arielle Warnke St-Pierre.

Images // Maison pour la danse 

À propos du spectacle 

À travers Gratter la pénombre, Alan Lake poursuit l’épopée symboliste entamée avec Le cri des méduses. Dans une déclinaison de solos pensés pour ses collaborateurs de longue date, il s’avance non pas sur ses territoires intimes, mais sur ceux des interprètes. La pièce donne à voir une série de portraits révélant les strates en mouvement de leurs paysages intérieurs, et ce, dans une approche pluridisciplinaire qui conjugue danse, arts visuels et cinéma. Ces histoires et fantasmes se trouvent magnifiés par-delà l’expérience humaine, contribuant à l’enrichissement du langage et de la mythologie propre à Lake. Tiré du site de La Rotonde

Gratter la pénombre sera présenté à la Maison pour la danse dans le cadre de la programmation de La Rotonde les 7, 8, 9 et 13, 14, 15, 16 février 2019.


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